Adieu Marsupilami
Actualité publiée le 06/02/2024
Marsupilami,
Était exceptionnel en tout. Il avait un profond amour pour l’humain, chien visiteur exemplaire. Il aimait tout le monde de la petite mamie au psychopathe, en passant par les résidents de FAM et patient en état végétatif chronique.
Oui il était parfait, jamais bagarreur, toujours câlins. Le soir ou le matin il venait sur mon oreiller, je prenais sa grosse patte dans ma main et lui caressait le dos. On ne se rendormaient pas longtemps mais ce moment était le nôtre.
Marsu adorait promener un jouet dans la gueule quand j’ouvrais la porte, il préférait les peluches mais dans la meute ce n’était pas évident de lui faire se plaisir
La grange ce matin avait ses pouets, balles qu’il avait emmener ses derniers temps. Sa gamelle était là mais pas lui mon morfal
Jenny-Lee n’avais qu’un fils sur cette portée, mais quel fils, mon Marsupilami.
En exposition sur la table il se laissait glisser dans les bras des juges, qu’il léchait en les regardant avec ses grands yeux pleins d’amour
Marsupilami, tu es parti après une balade merveilleuse, tu as jappé, joué, même avant la balade nous avions joué a tiré le crocodile. Rien ne laissé présager ce départ si brutal. Mais j’étais là mon Pilami le Marsu, je t’ai installé dans une cage car a un moment tu étais mieux, je me suis dit ouf.
Puis je t’ai mis du poulet, et ma veste. Tu t’es mis en boule, je te regardais, et mon cœur s’est arrêté car discrètement tu es parti pour une autre vie.
Mon amour je vais t’accompagner pour un dernier voyage, afin que tu reviennes à la maison auprès d’Ourse ta fille, Galahad, Foxie et Halcyone.
Je t’aimerai comme je l’ai fait la première fois que je t’ai vu, autorise-moi à pleurer car la vie sans mon petit Bouddha chien va être horrible.
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Était exceptionnel en tout. Il avait un profond amour pour l’humain, chien visiteur exemplaire. Il aimait tout le monde de la petite mamie au psychopathe, en passant par les résidents de FAM et patient en état végétatif chronique.
Oui il était parfait, jamais bagarreur, toujours câlins. Le soir ou le matin il venait sur mon oreiller, je prenais sa grosse patte dans ma main et lui caressait le dos. On ne se rendormaient pas longtemps mais ce moment était le nôtre.
Marsu adorait promener un jouet dans la gueule quand j’ouvrais la porte, il préférait les peluches mais dans la meute ce n’était pas évident de lui faire se plaisir
La grange ce matin avait ses pouets, balles qu’il avait emmener ses derniers temps. Sa gamelle était là mais pas lui mon morfal
Jenny-Lee n’avais qu’un fils sur cette portée, mais quel fils, mon Marsupilami.
En exposition sur la table il se laissait glisser dans les bras des juges, qu’il léchait en les regardant avec ses grands yeux pleins d’amour
Marsupilami, tu es parti après une balade merveilleuse, tu as jappé, joué, même avant la balade nous avions joué a tiré le crocodile. Rien ne laissé présager ce départ si brutal. Mais j’étais là mon Pilami le Marsu, je t’ai installé dans une cage car a un moment tu étais mieux, je me suis dit ouf.
Puis je t’ai mis du poulet, et ma veste. Tu t’es mis en boule, je te regardais, et mon cœur s’est arrêté car discrètement tu es parti pour une autre vie.
Mon amour je vais t’accompagner pour un dernier voyage, afin que tu reviennes à la maison auprès d’Ourse ta fille, Galahad, Foxie et Halcyone.
Je t’aimerai comme je l’ai fait la première fois que je t’ai vu, autorise-moi à pleurer car la vie sans mon petit Bouddha chien va être horrible.